đŸ—ŒPARIS ON FIRE #4: QUAND PARIS PREND FEU ! đŸ—Œ

đŸ—ŒPARIS ON FIRE #4: QUAND PARIS PREND FEU ! đŸ—Œ

 

Samedi 18 octobre 2025, le 20e arrondissement de Paris a vibrĂ© au rythme du piment. Pendant prĂšs de 12 heures, le Transformateur s’est transformĂ© en chaudron gĂ©ant pour accueillir la 4ᔉ Ă©dition de Paris on Fire, un festival aussi culinaire que culturel, organisĂ© par l’association Hot in Here.

Entre dégustations brûlantes, défis fous et ambiance survoltée, cette édition a tenu toutes ses promesses
 et laissé quelques papilles en convalescence.


Une édition plus grande, plus intense

DĂšs 15h, les visiteurs ont affluĂ© dans ce lieu industriel nichĂ© rue du Guignier. L’espace avait Ă©tĂ© entiĂšrement repensĂ© pour accueillir les multiples stands, animations, DJ sets et — surtout — les passionnĂ©s de sensations fortes.

Des murs Ă©taient tapissĂ©s d’illustrations et de citations extraites du livre “J’aime le piment” de Sonia Lounes, dont la sortie coĂŻncidait avec cette 4ᔉ Ă©dition (voir notre article sur le sujet ICI). L’autrice Ă©tait prĂ©sente pour des Ă©changes et des dĂ©dicaces.

 

Livre sur le piment


Du feu dans l’assiette 

La grande star de la journĂ©e ? Le piment, Ă©videmment. En sauces, en snacks, en cocktails, en plats fusion
 il s’est invitĂ© dans toutes les propositions culinaires, du plus doux au plus extrĂȘme.

Le Spicy Bar n’a pas dĂ©sempli : 15 sauces Ă  goĂ»ter de la plus douce Ă  la plus forte ont fait vriller les palais les plus tĂ©mĂ©raires. 

 

L’épreuve ultime : le concours de mangeur·se·s de piments

À 19h, le silence est presque tombĂ© dans la salle. Tous les regards se sont tournĂ©s vers la scĂšne pour le concours mythique : manger des piments de plus en plus forts, sans flancher.

Ils Ă©taient une dizaine au dĂ©part. Enthousiastes. Souriants. PrĂȘts Ă  relever le dĂ©fi.

Mais trĂšs vite, la rĂ©alitĂ© a repris ses droits. Larmes, sueurs, abandon en direct : les premiers rangs ont assistĂ© Ă  un vĂ©ritable ballet d’émotions fortes, entre douleur et fiertĂ©. Finalement, deux gagnants ont tenu jusqu’au bout, acclamĂ©s comme des hĂ©ros.

Ce moment intense, Ă  mi-chemin entre dĂ©fi sportif et rituel initiatique, a cristallisĂ© toute l’ñme du festival : repousser ses limites, mais toujours dans un esprit de fĂȘte.

 

Une ambiance de feu jusqu’au bout de la nuit

Pendant que certains cherchaient un peu de rĂ©pit en terrasse, d’autres se sont laissĂ©s entraĂźner par la musique.

Les DJ sets ont pris le relais dĂšs la tombĂ©e de la nuit : Marabou, Gyuza, Nils et Sobeariety ont enchaĂźnĂ© les mix donnant Ă  la soirĂ©e une dimension rĂ©solument festive. La piste de danse, elle, n’a pas dĂ©sempli jusqu’à la fermeture.

Entre deux pas de danse, les visiteurs pouvaient tester la “Spice Roulette”, participer Ă  une tombola pimentĂ©e ou repartir avec un souvenir du shop Ă©phĂ©mĂšre : sauces artisanales entre autres merveilles et le fameux ouvrage "J'aime le piment".

 

Livre j'aime le piment


Ce qu’on retiendra de Paris on Fire #4

  • Une montĂ©e en puissance rĂ©ussie : le festival a changĂ© d’échelle sans perdre son Ăąme.

  • Un public passionnĂ©, curieux, chaleureux, prĂȘt Ă  souffrir un peu pour le fun.

  • Une organisation fluide, malgrĂ© l’affluence : pas de longues files, des bĂ©nĂ©voles aux petits soins, une programmation bien cadencĂ©e.

  • Un Ă©quilibre entre culture, food et fĂȘte, rarement aussi bien maĂźtrisĂ©.

On en est ressorti avec les lĂšvres en feu, le cƓur lĂ©ger, et une furieuse envie de remettre ça.

Alors, Ă  l’annĂ©e prochaine pour la #5 ? đŸŒ¶ïžđŸ”„

 

évÚnement festif autour du piment

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